
Personnellement, je préfère garder d'autres souvenirs de Nikola Acin. Ceux de ses articles où transparaissait son humour décapant autant que son amour pour son sujet. Ou ceux de ses concerts dans des lieux improbables, il y a quelques années, bien avant qu'on parle de la "nouvelle scène rock parisienne" (grumpf), où il s'excusait toujours, sincèrement, de la mise en place approximative de son groupe, guère apparente à mes oreilles. Comme lorsque les Hellboys avaient fait la première partie des très graisseux Turbo AC's, dans l'arrière-salle d'un café louche au fin fond du XIXe.
Dans mon Wurlitzer mental, ce serait plutôt “Forever Young”.
May you build a ladder to the stars
And climb on every rung,
May you stay forever young,
Forever young, forever young,
May you stay forever young.
Bob Dylan